Karamatsu, qui signifie mélèze en japonais, est le nom donné à un cercle d’études en bonsaï, constitué à Montréal vers la fin des années ’90. Le cercle, dont les membres doivent également être membres participants de la Société de Bonsaï et de Penjing de Montréal, permet à ceux-ci d’améliorer et de pousser à un niveau plus avancé leurs connaissances en bonsaï ainsi que dans les diverses disciplines connexes. Il s’est également donné comme autre objectif de partager et de transmettre les connaissances acquises, à d’autres bonsaïstes motivés, par l’intermédiaire de conférences, de cours et d’ateliers.
Afin qu’il ne persiste aucune ambiguïté de positionnement ni d’apparence de conflit d’intérêts, mentionnons que Karamatsu n’est ni une autre société de bonsaï ni un prolongement de la SBPM. Il s’agit d’une identité autonome qui fonctionne selon son agenda et ses propres règles.
L’idée à la base de ce cercle d’étude, a été proposée par David Easterbrook, qui s’est inspiré des structures d’un groupe d’adeptes avancés des États-Unis. La première activité du groupe a eu lieu le 4 avril 1997. Au départ, les membres du groupe étaient, par ordre alphabétique :
Au cours des ans, quelques changements se sont produits, de telle sorte qu’en cette fin d’année 2010, nous constatons que les Conrad Bouvier, Martine Gascon et Gilbert Ste-Marie ont été remplacé(e)s par :
De plus, un membre honoraire s’est joint à Karamatsu, en la personne de François Jeker.
Les affaires de Karamatsu sont régies par un règlement et des normes de fonctionnement qui ont été élaborés et ajustés au cours des ans. L’essentiel de ce cadre peut être résumé comme suit :
L’un des objectifs du Cercle d’études Karamatsu étant de partager et de faire progresser les connaissances dans l’art du bonsaï, il va de soi que si d’autres personnes désiraient constituer un groupe analogue, Karamatsu se fera un plaisir de collaborer et d’échanger, sur les critères et les structures qui ont été à la base de ce projet, ainsi qu’à propos des normes de fonctionnement qui lui permettent de poursuivre.
Voici quelques exemples d’activités préconisées lors de l’élaboration du programme annuel :